




Pour que l’empathie envers les animaux soit enseignée à l’école !
Ce qui est bon pour les animaux le serait aussi pour toute la société. Un appel frappé au coin du bon sens à découvrir maintenant.
Par Axel Leclercq
22 février 2017
Plus personne ne s’en rappelle mais, à une époque lointaine, l’éthique animale figurait dans les manuels scolaires de tous les petits français (entre 1883 et 1923). Aujourd’hui, alors que ce thème est peu à peu reconnu comme étant l’un des enjeux majeurs de notre société moderne, un groupe de philosophes, chercheurs, juristes, vétérinaires et psychologues militent pour que, de nouveau, les enfants apprennent l’empathie envers les animaux. Gros plan sur une initiative inattendue mais très pertinente.
Cliquer ici pour lire la suite.
Nous avons pris la décision de ne pas refaire vacciner les chiens s'ils l'ont été déjà 3 ans auparavant. Ceci dans le respect de leur santé et non dans le respect du lobbying des laboratoires. Les nouveaux maîtres pourront ainsi choisir au mieux pour la bonne santé de leur compagnon. Il existe des vaccins homéopathiques en Angleterre par exemple et nous allons étudier cela.
Témoins de négligence envers un animal :
comment agir ?
Je vais vous donner les cas de négligence pour lesquels vous pouvez agir. Pour les autorités, un chien maltraité c’est :
- Un chien qui n’a pas de nourriture équilibrée à sa disposition, ou en quantité insuffisante. Il faut aussi qu’il ait de l’eau fraiche renouvelée régulièrement dans un récipient propre.
- Un chien qui, en cas de blessure ou de maladie, n’est pas soigné jusqu’à son rétablissement.
- Un chien enfermé dans un local sans lumière, insuffisamment chauffé ou surchauffé, ou dans des conditions incompatibles avec ses nécessités physiologiques.
- Un chien qui vit dehors attaché à un piquet n’est pas considéré comme maltraité. Cependant, il doit avoir une niche, un collier à sa taille, non-étrangleur, et une laisse de minimum 3 m de long (ou 2,5 m si le système d’attache est coulissant).
- Un chien enfermé dans une voiture sans système d’aération (exemple : dans le coffre). Par fortes chaleurs, le propriétaire doit veiller à laisser la voiture à l’ombre.
Et si le propriétaire néglige son devoir de maître ? S’il laisse son chien mourir de faim ? Souffrir d’une grave infection ? S’il le laisse vivre sur son balcon jusqu’à ce qu’il meure de froid ?
>> La peine est de maximum 750€ d’amende. Dérisoire, n’est-ce pas ? Mais ce n’est pas le pire.
Le pire, c’est que cette peine de 750€ n’est en pratique jamais appliquée. Je le vois tous les jours quand nous organisons des sauvetages. Bien souvent, les autorités ont trop peu de considération pour les animaux. Elles n’engagent pas de poursuites. Les associations pour le bien-être animal, quant à elles, ont des moyens très réduits. Bien souvent, leurs ressources servent à payer les frais vétérinaires pour soigner leurs protégés. Pas pour engager un avocat afin de lancer une procédure.
Il faut distinguer deux cas.
Premier cas : un chien est maltraité, négligé, mais il n’y a pas d’urgence.
La première chose à faire est de prévenir les autorités. Il peut s’agir de la gendarmerie, du commissariat de police (17), ou des services de la préfecture. Vous pouvez également contacter les services vétérinaires de la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations).
Vous pouvez aussi appeler une association de protection animale. Par exemple, 30 Millions d’Amis, ou la Fondation Brigitte Bardot. Leur but, leur objet statutaire, est justement la défense des animaux. Elles ont donc la capacité de traduire les malfaiteurs devant la justice. En plus, elles ont des bénévoles pour enquêter, monter un dossier, collecter des preuves afin de porter plainte.
Seul inconvénient : elles ne peuvent pas saisir un animal maltraité sans être mandaté par les autorités. Aberrant !
Pour agir vite, vous pouvez également faire appel à une association locale – elle pourra placer l’animal en danger dans une famille d’accueil. La liste de ces associations est sur mon site, vous pouvez y accéder ici :
Voir la liste des associations de protection animale à contacter
En attendant l’arrivée des associations, rien ne vous empêche de collecter des preuves vous-même. Prenez des photos du pauvre chien enfermé sur le balcon. Filmez les bourreaux qui trainent leur chien derrière une voiture. Recueillez les témoignages des voisins qui tous les soirs entendent l’animal se faire battre.
Et retirer l’animal violenté pour le sortir de ce calvaire ? Ce n’est malheureusement pas si simple. La loi vous interdit de pénétrer dans une propriété privée, d’agir avec violence, ou de recourir à des moyens illicites. Si vous kidnappez un chien battu pour le sauver, vous pourriez tout simplement vous faire accuser de vol.
Il existe cependant une exception à cela. J’en arrive au second cas, plus dramatique :
Deuxième cas : la situation d’urgence.
Une situation pour laquelle une intervention immédiate est nécessaire, sans quoi l’animal va mourir.
Dans une telle situation, appelez tout de suite le commissariat de police -au 17 ou au 112.
S’ils mettent trop de temps à arriver, et que le chien est en danger de mort imminente, alors vous pouvez exceptionnellement agir. Vous pouvez entrer dans une propriété privée. Vous pouvez retirer le chien à son propriétaire. Cela s’appelle l’état de nécessité.
L’article 122-7 du code de procédure pénale vous autorise à intervenir « face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui, ou un bien ». Il faut néanmoins que votre réaction soit proportionnée à la gravité de la menace. Quand vous le pouvez, essayez juste de parler avec le malfaiteur. Proposez-lui de le décharger de son chien en le prenant chez vous. Et si c’est impossible, essayez au maximum de récolter des preuves de sa maltraitance avant d’agir. Cela vous évitera d’éventuelles poursuites pour vol.
La justice n’est malheureusement pas du côté de nos amis poilus. C’est à nous de faire en sorte que le peu de lois qui les protègent soient appliquées. Gardez l’œil ouvert, et en cas de doute, n’hésitez pas, agissez !
Sur ces bonnes résolutions, je vous souhaite une excellente journée !
Amicalement,
PS1 : Un pas très simple pour lutter contre la maltraitance animale est d’adopter son chien en refuge. Cela permet d’offrir un foyer aimant à un animal abandonné - et il vous en sera toujours reconnaissant.
PS2 : Avez-vous été témoin de cas de maltraitance ? Comment avez-vous réagi ? Partagez votre expérience, je vous lirai avec plaisir.
PS3 : Voici quelques associations qui pourront vous accompagner pour porter plainte contre une maltraitance :
> La SPA a des refuges un peu partout en France, mais intervient aussi contre les mauvais traitements. Elle gère également une cellule anti-trafic pour démanteler les élevages clandestins.
> La Fondation 30 Millions d’Amis lutte contre les abandons. Elle défend les animaux en France et à l’étranger depuis plus de 30 ans.
> La Fondation Brigitte Bardot recueille des animaux abandonnés. Elle lance également des enquêtes en cas de soupçon de maltraitance.
> La Fondation Assistance aux Animaux rassemble une vingtaine de refuges, dispensaires, ferme et centres d’accueil où elle secourt les animaux maltraités. Elle poursuit en justice les auteurs de mauvais traitements.
Nos chiens en pleine épidémie de maladies chroniques: en cause, la vaccination?
6 Janvier 2016, 06:59am
Publié par Le Nouveau Paradigme
Big Pharma ne nuit-elle pas sciemment à nos animaux de compagnie avec ses vaccins ?
Aliszhia Haw, 29 décembre 2015
Nos chiens se trouvent en pleine épidémie. Ce n’est pas une épidémie de maladie virale, mais une épidémie de mauvaise santé chronique. Nos chiens sont assaillis par des démangeaisons, des formations de pus, la peau crouteuse, les vomissements et la diarrhée sont la norme. Un chien sur 100 souffre d’épilepsie, et un nombre plus élevé encore souffre d’arthrite douloureuse. Les allergies atteignent aussi des proportions épidémiques. On pourrait presque dire que certains de nos chiens deviennent allergiques à la vie !
Selon le Dr Jean W. Dodds, éminent vétérinaire et chercheur, les allergies et les maladies auto-immunes se sont multipliées depuis l’introduction des vaccins modifiés à virus vivants. Les maladies auto-immunes apparaissent quand le corps commence à s’attaquer lui-même. Ces maladies comprennent le cancer, la leucémie, les maladies thyroïdiennes, la maladie d’Addison, la maladie de Grave, l’anémie hémolytique auto-immune, l’arthrite rhumatoïde, le diabète, le lupus, la thrombocytopénie, l’insuffisance de tel ou tel organe, les inflammations de la peau et plus encore.
Il semble que nous ayons aussi un grand nombre de chiens souffrant de problèmes de comportement en grande partie dus à une sur-vaccination comme aussi à des aliments préparés pour animaux de compagnie. Il est connu que les vaccins peuvent provoquer des inflammations du cerveau, de même que des lésions cérébrales et des lésions du système nerveux central. Le terme médical adéquat est « l’encéphalite » Dans ce cas, le rôle que peut avoir le vaccin est reconnu dans le Manuel de Merck. Merck est un fabricant de vaccins.
Toutes les interventions médicales comportent un risque - même une simple aspirine peut s’avérer dangereuse. Il convient donc de bien peser la relation bénéfices/risques quand on envisage de prendre quelque médication que ce soit. Quels sont donc les risques des vaccins ?
Les recherches effectuées par Frick et Brookes nous montrent que les vaccins peuvent déclencher l’atopie (allergies cutanées). (Am.J. Vet.Res., 1983 Mar. ;44(3) :440-5). Le Dr Jean W. Dodds nous explique que les maladies rétrovirales et parvovirales sont généralement associées à des lymphomes, des leucémies, des défaillances d’organes, des maladies de la thyroïde, des surrénales, du pancréas ou de la moelle osseuse.
Les vaccins peuvent provoquer le cancer chez les chats au site d’injection et, selon le Journal of Veterinary Medicine, août 2003, les vaccins peuvent aussi provoquer le cancer chez les chiens au site d’injection. Les vaccins peuvent aussi provoquer l’anémie hémolytique auto-immune (JVM, Vol. 10, N°5, September/October 1996 ; Merck Veterinary Manual) l’arthrite (BVJ, May 1995 and Am.Coll.Vet. Intern. Med. 2000 ;14 : 381). L’épilepsie est un symptôme d’encéphalite qui, comme nous le savons déjà, peut être causée par les vaccins.
Selon le Dr Larry Glickman et son équipe à l’université de Purdue, le sérum et les protéines étrangères des vaccins peuvent provoquer l’auto-immunité (cancer, leucémie, défaillance d’organes, etc.). Celle recherche indique également que les dommages génétiques sont possibles du fait que les chiens vaccinés développent des anticorps qui s’attaquent à leur propre ADN. Les recherches réalisées à l’université de Genève semblent conforter ces recherches.
Au fil des ans, de nombreux vétérinaires, en particulier en Amérique, ont dit qu’ils pensaient que les vaccins pouvaient provoquer un large éventail de problèmes chez les animaux. Un exemple : Christine Chambreau, DVM dit : « les vaccinations de routine constituent probablement la pire des choses que nous puissions faire aux animaux. Ces vaccins provoquent toutes sortes de maladies, mais pas nécessairement où et quand on pourrait normalement s’y attendre ». Elle n’est pas la seule à penser comme cela. Je puis comprendre que certaines personnes n’hésiteront pas à me qualifier d’irresponsable. Mais que savons-nous effectivement ce qui se passe quand on vaccine ?
OKAY, mais la maladie de Carré est si rare que la plupart des vétérinaires ne l’ont jamais vue depuis au moins dix ans. En outre, selon des chercheurs de haut niveau, et comme l’a confirmé l’Association Médicale Américaine des Vétérinaires, une fois que les chiens sont immunisés contre une maladie virale, ils sont protégés pendant des années ou même pour le restant de leurs jours. Alors, pourquoi les vétérinaires et les fabricants de vaccins essayent-ils de faire vacciner les chiens chaque année contre des maladies virales, ou même tous les trois ans – surtout quand on prend les risques en considération ?
Selon les données que l’on peut trouver sur internet, les chiens développeraient une immunité permanente contre l’hépatite B après l’âge de 12 semaines. Pourquoi alors continuer à vacciner contre cette maladie ? La toux du chenil est facilement traitée dans la plupart des cas, alors que le vaccin n’est pas très efficace. Alors qu’en est-il vraiment ? La leptospirose est rare et le vaccin est associé à de graves effets secondaires. Ce vaccin ne fait-il donc pas courir des risques inacceptables ? Quant au parovirus, il est, selon le dictionnaire vétérinaire d’Oxford, rarement un problème pour un chien adulte normal et en bonne santé.
La question est évidemment de savoir comment maintenir un chien en bonne santé. A mon avis, vous aurez un chien en bonne santé si vous ne le vaccinez pas du tout ! Les vaccins déstabilisent le système immunitaire, conduisant à toutes sortes de maladies chroniques. A partir de tout ce que j’ai vu et lu, les vaccins ne favorisent pas la bonne santé de votre chien. Par contre, les vaccins peuvent faire attraper des démangeaisons, des vomissements, des diarrhées, les rendre malades, en faire les ombres d’eux-mêmes – en attendant qu’ils fassent des maladies plus graves comme le cancer. Les vaccins sont, en quelque sorte, la recette parfaite de l’épidémie de maladies chroniques que j’ai décrite.
Les vaccins ne peuvent d’ailleurs pas garantir l’immunité.
A mon avis, l’état de bonne santé est un droit tout à fait normal donné par la Grande Nature. C’est l’homme qui fout tout en l’air. L’ordre naturel est beaucoup plus sage que n’importe qui d’entre nous, et les personnes qui ne vaccinent pas leurs chiens sont la preuve même que ce sont les lois naturelles qui sont les bonnes.
Source : Wethepeoplereport.com via initiativecitoyenne.be/